" size="2" color="blue"> Los Angeles, 2002, Depuis longtemps déjà personne n'avait jamais vu un tel brouillard, que ce passait-il donc ? - " à couper au couteau", ce dit willy qui restait bloqué à sa fenêtre, tournant, se retournant dans sa belle maison de Berverlly Hill.

Arthur, un de ses voisins se possait aussi les mêmes questions. Mais plus sage il se demandait aussi, combien de livre commencer avec ces mots "Los Angeles". "Los Angeles, la cité des anges et de mes rèves" ce disait Harthur - ces rèves nombreux, fréquents à répétitions ce plaisait-il à dire n'était pour beaucoup ce qu'une personne bien portante appellerait des chimères.
Ces rèves, était bien peu en réalité, il le savait et n'ossait plus en parler, il faut dire que ces amis en avait comme on dit quelque peu "le souper" - il vivait depuis sa prime enfance dans ce quartier, qu'il n'avait en fait pas quitter - sachant qu'il était préférable de rester autour de sa famille et de ces amis.Et donc, ses rèves ne l'intérréssait même plus.
Néanmois, ce brouillard n'était pas un réve - Willy qui l'appellait d'habitude à toute heures, lui en avait juste toucher 2 mots, ce matin, à 9 heures tout aussi étonné - Los Angeles était plongé dans un brouillard à moins que ce fut aussi un réve mais la cité entiére dormait.
Onze heures moins le quart, Willy au téléphone : "salut Arthur, Je comprend rien à ce brouillard, depuis des heures, je n'ai jammais vu ça - et à la télé, je zappe sur toutes les chaines - personne n'en parle".

Arthur : "T'en fais pas Will, il ne devrait pas rester, mais je trouve cela assez étrange, voir aussi exceptionel".
Willy : "C'est carrement louche, j'essaye d'en savoir plus".
Willy tournait autour de sa fenêtre, de sa télé, il esseya aussi d'écouter la radio, mais s'en rester fixement sur une chaine comme pour en savoir le plus possible, c'était la meilleur méthode pour passer à coté des messages qu'enfin aurait éclaircie sa lanterne.
Il en devenait dingue, bon une petite bierre, le sofa, une cloppe et tout irrait mieux. "Après tout, willy, tu peut t'en foutre, de ce brouillard, tu es la peinard, comme d'habitude, le frigo est plein" - de plus, avec l'argent de la dernière campagne de pub, tu peut vivre un mois, sans sousis" ce dit-il en lui même.
Arthur pendant ce temp se disait : "le brouillard encore présent, Willy doit se prendre la tête, comment ce bon vieux copain va t-il faire, il ne pourrat pas s'en empecher, pour trouver l'origine d'une condensation aérienne, qui il le fallait bien se l'avouer lui semblai bien trop persistante et surtout exeptionnel pour la californie, enfin bon quelqu'un avait-il déjà vu un tel phénomène ?".
Pendant ce temps, willy avait bu sa bierre, fumé deux cigarettes et imaginé déjà plusieurs hypothèses, il savait que l'influence du bas de ces reins, possait sur son sofa, était tout à la fois magique, surnaturelle, mais surtout propice à la méditation.
Premièrement, aucun message radiophonique, il n'avait capté, la télévision était aussi muette sur le sujet - Arthur constaté les mêmes fait que lui - et personne parmi ses proches, ne semblais s'inquiter. Toutes ces réflexions l'ammenais bien sur à penser que si ce brouillard n'était pas le fruit de son imagination, il s'agissait bien sur d'une blague de ses amis, ils étaient, le savait willy capable de tout, et notament d'entourer, voir de plonger le mot n'est pas trop fort, la résidence d'Arthur et la sienne d'un fulmigène surpuissant. Will désormais s'appaissait à l'idée d'être l'objet d'une farce.

Sur de lui, et pour se rasurrer tout à fait, il compossat le numéro de sa copine Sarah, "Ring - bonjour Sarah" entendit t-elle en décrochant le combiné placé à porter de main dans le bureau du centre d'acceille nautique de la plage "Annaconda Beach".
- "Bonjour", répondit-elle, de sa voie enjoué de surveillante de plage.
- "comment tu vas, ma jolie"
- "Tout va bien, la mère est calme".
- Willy : "passe une bonne journée Sarah, je te rappelle ce soir".
- "merçi, à plus tard" - click -cette fois Willy était tout à fait rassuré, bien qu'il ne savait pas que sarrah était quelque peut rongé par cette brume, bien trop épaisse, innabituelle.

La plage était déserte, on ne voyait presque rien, elle avait bien sur signaler le problème à son supérieur, qui lui avait demander de rester calme et effectivement aucun incident particulier pouvait l'inquité, la radio enchainner comme d'habitude ses airs rocks préférés - elle sortait à seize heures et buvais du soda en lisant.
Willy, quand même se demandait qui allait mettre fin à cette blague, il venait de déjeuner et se décidat enfin à sortir, à chercher où était cet appareil mystérieux capable d'émettre un brouillard plus que réel et des doute plus que certain dans l'assemblage ou plutôt le réseau neuronnal comme disait son amis Franck, professeur à l'université de Berkeley.

Dehors, sur la pelouse, en sandale, Willy ne savait à nouveau plus, si une certain vision - trop pressante, peut être, où alors une certaine blague n'allait pas trop loin, en effet, le brouillard semblait recouvrir aussi la maison au loin des voisins et willy ne distinguait qu'a peine la lueur devenue fluorécente de la télévision - Mais, quelque pas plus loin, quelque pas de plus, un certain mouvement de la tête, une idée aussi, l'orientère vers enfin la piscine d'ou évidament se dégager bien plus de brume qu'autour de lui.
Nouvelle éclair de lucidité, le diffusseur était caché dans la piscine, qu'il avaient surrement vidé, la bonne cachette - la bonne blague, avait-il prevenu les pompiers, les voisins, ces amis. Comment allait-il, rendre la monnaie et aussi pourquoi avaient-ils organisé tout cela ?

Margot, ce matin là, nétait pas en forme, elle avait décidé la veille de s'acheter une nouvelle robe, une de celle qu'elle avait vue à la télévision, justement la veille, la nouvelle mode lui plaisait beaucoup, une robe que tout le monde pensait-elle avait vue sur la canal 31 une robe qu'elle trouverais chez Mark-Spy, la boutique - le magasin de la chaine Mark-Spy uniquement gérer par ces congenères, elles savait bien ce qui leurs plairaient - et encore une fois, le modèle était superbe, gris changeant vers le mauve en se déplaçant, long étroit, mais elle avait constaté avec surprise, que les mouvements des pas, des jambes étaient libres, égaux à eux-même, et lui plaisait surtout beaucoup.

La mauvaise forme n'allait pas avec le carractère heureux et se sourire simple qu'afficher à l'ordinaire notre héroïne, elle avait, elle osait à peine, s'en rapeller fait un cauchemard cette nuit et ce matin aprés un copieux petit déjeuné, qu'elle ne fut pas à son tour, la surprise, de découvrir, il était encore trés tôt, de la bué sur les fenetres et encore plus du brouillard, du brouillard à Los Angeles. "Ca c'est le comble", s'écriat-elle, déjà furax d'avoir était reveillée par un cauchemard, elle se sentait être retourné en quelque sorte en enfance - le brouillard, ne rajouter, il en est sur, rien de bon à une colère qu'elle avait du mal à contenir, ces projets tombé si l'on peut dire à l'eau, d'autant qu'il était encore bien trop tôt pour prévenir ses amis, qu'il était trop tôt pour en parler à quelqu'un. Elle ouvrit la fenêtre, la brume lentement introduisait l'intérieur du salon, trés bien tenue au démeurant, et machinalement, étant quand même méfiante de nature, refermat, plutôt rapidement même la fenêtre. On ne sait pas bien, ce qui se passait, à ce moment dans sa tête, Margot s'assit devant les restes de son déjeuner, Margot se rellevas aussi sec et d'un pas rapide se dirigat vers sa chambre - Elle ne fut pas longue à s'endormir.

Depuis déjà longtemps, willy avait fait plusieurs fois le tour de la propriété, il avait eue beau retourner son mobilier de jardin, il avait fouillé la cheminé, qui elle aussi, avait-il cru était de la partie, il avait aussi scruter les arbres alentours, il avait surtout du se rendre à l'évidence, tout le quartier était plongé dans le brouillard. Ne tenant plus en plaçe, il retournat d'un pas rapide lui aussi vers le salon, afin de reprendre le téléphone en main, et aussitôt de composser le numéro d'Arthur - "Arthur, ce qui se passe n'est pas ordinaire, ce brouillard semble recouvrir le quartier entier" dit-il d'une voie grave.
"Willy, on en saurra plus ce soir, la télévision est muette, ce ne doit être qu'un souffle venu du large".
"En fait de souffle, il s'agit plutôt de purée, je la voie s'épaissir d'elle même".
Willy décidément était bien décidé à comprendre ce qui ce passait, il se rendit devant le garage, la rue était calme, les passants, c'était normal dans ce quartier ne passé plus du tout, la voiture, omnipréssante dans la vie quotidienne, avait définitivement mit un terme à la circulation piétonne, mais quand même, Willy par temp clair aimait bien, suivre du regard ces allés, bordant la chaussée appellées encore trottoir, et qui finalement ne faisait plus que séparer les larges rues de Beverlly-Hill, des gazons qui comme un océan réunissait les maisons les unes aux autres, un océan qui était vert émeraude aujourd'hui.
En s'approchant de la porte du garage, Willy entendit le déclick habituelle du mécanisme qu'il avait fait installer, il y a déjà deux ans. En fait, willy porter un ceinturon large en cuir noir, ornée d'une broche en argent, il avait aussi, fait ajouter un émeteur électronique, qui signaler sa précence, qui par l'intermédiaire de récepteurs déclencher certain automates, dont justement la porte qu'il franchissait pour se rendre dans sa voiture, un sourire malicieux, lui fit un instant aussi oublier le brouillard, il adorait, si l'on peut dire son gadjet, en voyant la portière elle aussi, s'ouvrir, il était à son comble -Un moment de répis dans le trouble d'une journée étonnante, d'une journée brumeuse.
Contact, le moteur ronronnait facilement, Willy fit sa marche arrière, puis avança sur la chaussé pour allé, il ne savait encore où !
"Je vais commencer, par faire le tour du quartier" la limitation à trente miles était de mesure dans ces quartiers paissibles.

Il avait bien croissé, quelque voitures, les conducteurs avait l'air aussi agard que lui bien sur, il avait aussi, achetté des 'croissants' dans une 'boulangerie' rappellant, la tradition française. La serveuse n'en savait pas plus que lui, les clients qu'elle avait déjà rencontré étaient mué pour la plupart, certain d'entre-eux riait quelque peu, en fait l'étrange brouillard étonner tout le monde. Un climat de suspicions réciproques entouré chacun de nous, se mis à penser Willy. Il en aurait le coeur net, en voiture de nouveau, il alla vers le centre-ville (ce qu'il appeller comme cela). La speed-way à quinze heure n'était jammais vraiment occupé, il pouvait allait assez vite, si ce n'était encore ce brouillard, en voiture, l'énervement, la fatigue venue dont ne sais où, lui demander de na pas poussait trop loin l'aiguille du compteur, il arrivait sur la station Exxon, Joey serait surement là, perpetuellement en colère, Joey était le plus sympa des pompistes de la cote ouest. Avec, son phrasé naturellement odassieux, il allait surement en savoir long. Sans faire le plein, Willy, entra directement dans le bureau.
- "Salut Joey, as-tu déjà vu-cela ?"
- "Ecoute, Willy, depuis ce matin il ne font tous chier avec ça, j'y comprend rien comme toi!".
- "Merci pour les renseignements, Bill, super sympa."
Willy achetat des chewing-gums puis sortit d'un pas leste tout allait pour le mieux pensait-il.
En arrivant, vers sa voiture, comme prit d'un doute, on se demande perfaois, comment les doutes arrivent, il repenssat à l'idée d'une blague et se baissat pour regarder si le fulmigéne évoqué plutôt n'était pas caché sous la carrosserie, il n'arrivais pas quand même, à le croire, et son inspection ne durat qu'un court instant.
Agacé, on le serait à moins, il remontat dans sa voiture cherchat le portable, numérotat à toute vitesse : "Salut Arthur, je suis à la station - le brouillard est aussi présent, le pompiste affirme avoir entendue les clients en parler, sans plus d'indication".

- "Merci Willy, je prend bonne note, de mon coté tout va bien, continue ton enquète".
- "Bien sur, je vais à center-garden".

Repprenant son calme et le levier de vitesse, Willy se dirigeat, selon, il faut dire une habitude bien à lui, le center-gearden-bar où quelque clients, avait bien des nouvelles, on ne pouvait rester sans savoir, d'un doigt il alluma, la radio.
Margot n'osait plus sortir de son lit - depuis déjà une heure, elle restait fixé les yeux au plafond, une journée pareille, qu'elle jour étions nous d'ailleurs ? Aucune importance, Margot ne s'en souciais plus depuis longtemps, cette pensée, la confortait, et d'un bon leste elle sortie du lit, de la chambre et avec éffroit, ne put constaté qu'il était là. Son pére avait beaucoup souffert des gazs - mortel copieusement distribué lors d'opérations pour le moins étrange, il n'avait pratiquement plus parler depuis le rerour de la dernière et obsésée encore parfois à cette pensée, elle se convainc facilement de ne pas sortir.
Revenons à nos mouton, et surtout à Willy, l'intrepide qui venait d'entrer dans le bar. Nous ne connaissant pour l'instant que peu ce personnage, simplement vétu mais avec quand même élégance, il était de bon gabarie et lui aussi avait une bonne bouille - non que je veuille n'avoir dans un brouillard pareil des héros quelque peu simplet, il était de coutume à Los Angeles de portait le sourire facilement la vie étant, tout du moins habituellement, plutôt 'fun' pour utilisser une expression que l'on continuellement utilisait dans la journée.
Willy reconue rapidement la grande Sophie, tout en se dirigeant sans mal vers elle, il fit signe, au serveur de lui apportait la même chose et lui dit "Hello Sophie", elle répondit par un sourire, nous voyions bien, qu'il se connaissait depuis longtemps - elle était, elle aussi crispé et son sourrire ne durat qu'un instant. Willy entreprit malgré tout d'évoquer, de lui parler, de lui reconter sa matiné, mais à quoi bon le brouillard épais à l'exterieur semblait aussi lui interdire ces mots - mais essayont de nous replacer dans le contexte : "Le fog ?", oui lui dir-elle. Willy par nature comprenait, la comprenait en l'occurence l'inquiétude gagnaient surement plus vite que tout, l'ensemble de la population.

Il en aurait le coeur net, en voiture de nouveau, il alla vers le centre-ville (ce qu'il faisait avec son portable, numérotation.
Arthur, je suis à la station - le brouillard est aussi présent, le pompiste affirme avoir entendue les d'indication
- "Merci Willy, je prend bonne note, de mon coté tout va bien, continue ton enquete bien sur, je vais à center-garden.
Reprenant son calme et le levier de vitesse, Willy se dirigeat, selon, lui vers l'inconnue ?

Auteur denis BeeLog