Le logiciel Denis-Draw initié par son auteur, et une succéssion de développement tout d'abord Impact comme sur mon CV, qui était une interface primitive de dessin conçus sous MS-dos, que j'ai écrit - et pour le faire connaire nous l'avons chrsitophe et moi fait référencé dans la bibliothèque Dp Tool Club, qui était pour nous une référence de publication a cette époque le début des années 1990. Quand WindowsTM est apparue alors nous nous sommes dit de le refaire pour cette interface qui allé devenir l'interface de nombreux ordinateurs. Il fallait pour cela tout refaire avec les outils de Borland et son compilateur Borland pascal pour Windows, et aussi Windows lui même et c'est ainsi que je l'ai réécrit pour fonctionner avec ce système.

C'est alors que nous avions une version prète, pour la distibution:
Quand j'ai fait publier mon logiciel pour la première fois en 1992, j'ai, au préalable, cherché d'autres entreprises pour le distribuer. Ceci étant, ces entreprises contactées avaient, sur ce créneau eux aussi des logiciels similaires.

C'est pourquoi avec Christophe quand nous avons compris cela et que la presse-papier de découverte de l'informatique s'est mise à distribuer des disquettes. Nous avons, Christophe et moi autorisés la publication sur ces supports de la version 1 puis 1.5, 2, 2.1, 2.5, 2.8, 3.0 etc....

Cette distribution, nous a permis de faire des ventes, car une rétribution était demandée afin de l'utiliser.

Mais au préalable, j'avais écrit un programme sous «dos» qui s'apellé Impact, c'était un logiciel avec une interface événementielle : des menus déroulants, des pictogrammes et une gestion des mouvements de la souris - référencé par DP-Tool-Club.

Quand on m'a demandé de le recompiler sous windows, c'est avec le même compilateur celui de Borland, qui était interfacé sous WindowsTM que nous avons continué et de refaire une bonne partie de celui-ci pour prendre en compte WindowsTM et son interfacage : il n'était plus question de scruter la souris mais d'attendre des messages de WindowsTM.

C'est alors que la socièté Isagri nous a contacté par l'entremise de Monsieur Yves et d'un ami à lui de même que des personnes voulant l'adapter à la confection. Je me rappele bien sur que Yves Pichot m'a remit le cahier des charges du logiciel escompté que j'avais à développer pour eux. Les différentes versions succésives du développement de ce logiciel ont été remise à Pascal, et ce logiciel était bien plus qu'une simple feuille de papier - il était utilisable comportait des fonctions avancées de dessin et plus nous avancions plus de fonctionnalités ont été ajoutées comme une base de données de variables qui permettait d'associer des valeurs au parcelaire par exemple de quoi était semé un champ en particulier et de colorier ceci selon cela (en fonction d'un ensemensement ou d'un assolement par exemple) et aussi de découper ce logiciel en niveaux d'utilisations différents, ce que j'ai fait.

C'est alors que la société Isagri s'est mise à vendre mon logiciel pour subsister et j'ai ajouté de nombreuses fonctionnalités a ce logiciel conçu spécialement pour tracer le cadastre agricole.

Isagri bien sur, c'est bien enrichie avec le logiciel écrit par denis bertin, jusqu'a faire construire un building avec l'argent qu'il leurs a fait gagner.

Une écriture à partir du modèle publié était alors facile d'entrevoir pour des besoins proches du dessin adapté au cadastre.

Les fonctions demandées, étaient simple, à satisfaire, la vision du cadastre sous forme de polygone (en-vue de dessus) demande de créer des listes de liste bout à bout, pour appeler les fonctions de dessin du GDI de Windows. J'ai d'ailleurs expliqué ce fonctionnement quand l'entreprise Isagri devant maîtriser les dévéloppements suivants voulait poursuivre ce que j'avais fait. Mais j'ai tout de même écrit 60.000 lignes de programmation pour créer ce logiciel que nous avons appelé Isaplan.

Une DLL, spécifique écrite alors par l'équipe de Guillaume Morel dans cette entreprise permettait de visualiser dans une fenêtre spécialisée le même cadastre dessiné au préalable, mais cette fois de l'intégrer à un nouveau logiciel et de parfaire celui-ci avec cette visualisation. J'ai d'ailleurs permis le passage de transition du programme de départ vers celui de gestion avec un convertisseur de source que Guillaume à dû transcrire, dans leurs archives un exécutable avec une petite flèche jaune. En fait, ceci me permet de dire que ce programme est devenue une fenêtre, lui-aussi dans un applicatif de gestion.

Constamment soucieux de faire évoluer ces deux logiciels, un presque publique (de par sa parution dans les mensuels), l'autre spécifique au métier agricole. Je me suis bien amusé mais trop préoccupé je n'ai pas pris tellement de vacances.

Une fois le plagiat évidant de la société Isagri, vis à vis de mon oeuvre, dont il ne sont ni les concepteurs* mais juste imitateurs, Je me suis demander comment pourrais-je alors renoncer mes droits d'auteurs, alors effectivement, il suffit de constater la législation Française pour obtenir cette liberté que tous le monde reconnait volontier - merci a vous tous.

Bien sûr le soin apporté à ces deux réalisations m'a permis de continuer et d'inaugurer la suite comme le logiciel Denis-Draw dont je vous fait part dans ce manuel que j'ai rédigé.

Sachant cela et ayant imaginé comment résoudre ces fonctions, il été facile pour moi de les documenter. Et vous devez comprendre que sa lecture pour complète quelle soit ne sera utile que si vous l'utilisez. Vous aussi, et je vous souhaite à votre tour non seulement de l'essayer mais aussi de découvrir et de partager comment dessiner sur un écran avec une souris.

Mais alors vous allez me dire, Denis, tu aurais ouvert la connaissance des livres d'informatiques pour nous l'apporter.
Tu aurais étudié sans que l'on ne le sache, tu étais tellement mystérieux que nous n'avons pas su que penser de toi!.
Oui, mais désormais la science que nous avons divulguée commence à être connue celle-ci et celle-là comme de schématiser le dessin sur ordinateur.

Mais souvent il semblerait que l'on ne le sache pas et ce qui me semble être une évidence n'en est pas une, il faut le reconnaître. Et la plupart du temps les esquisses pratiquées comme des dessins sont loin de faire connaître la partie technique de ce même dessin appliqué à la construction mécanique, par exemple. Ce qui n'est pas un mal mais plutôt une approche naïve pour celui qui a enseigné le dessin industriel et qui parfois donne d'un trait une idée lumineuse.

Et comment tout ceci a t-il commencer ?

Simplement au lycée technique ou un professeur de mathématiques nous a fait tracer des hyperboles et des fonctions. Pour plaisant que cela soit, nous avons de la sorte vérifié le fonctionnement de nos calculatrices, ou du moins vérifié que nous savions les utiliser. Ces exercices sont d'une certaine efficacité car si les points d'approche consécutive sont inexacts il faut les approcher avec différents moyens dont les pistolets : connaissez-vous ces plastiques où vous pouvez faire suivre la mine d'un stylet autour de formes prédéfinis.

Alors que nous savons que les ordinateurs existent depuis les années cinquante, avec l'éniac le prototype qui occupait l'espace d'un stade de basquet ou des interrupteurs et des voyants pouvaient représenter des chiffres. Vous savez peut-être comment : une suite de puissance multiple de deux additionnée comme 1+2+4=7 permet avec ces contacts de compter jusqu'à ce nombre de sept. Imaginer alors comment les additionner tout simplement, avec l'opération ET : deux interrupteurs à la suite... pour positionner la retenue.  

Et alors l'opération OU permet de positionner l'indicateur de l'état présent : avec ce diagramme : quand une de ces valeurs est vraie le résultat est ausi vrai. Mais si les deux sont positionnés le résultat est faux.

Faite l'expérience au tableau si vous voulez... et vous obtiendrez 1+1=10Bits.

Je suis surpris de constater que Stève Jobs et son alycote Wozniak, l'on intégré dans une machine miniaturisée et que l'on reconnaisse ceci, ce qui est évident mais pas celà ou que l'on ne le sache pas, Alors je me suis demandé, comment s'etait-il procurer son µ6502 (le processeur de son apple ][) une coïncidence, un fait exprès, une recherche surement mais qui pourrait nous faire penser qu'il l'avait mais aussi qu'il existait ce micro-processeur.et de croire tout bonnement qu'il aurait fallu qu'une montagne d'ingénieurs en fasse un pour ne pas savoir sans servir à l'exclusion de ces messieurs. Sans doute avait t-il la préscience de ce que fut ce que sont devenus les micro-ordinateurs et d'intégrer ce µprocesseur dans un clavier, selon certain et je le pense aussi ils en ont fait l'inauguration, d'ailleurs IBM n'aurait-il pas déposé bien plus tard son brevet en 1981,

Les fonctions de dessin existent sur ordinateur depuis longtemps, sans doute étiez-vous trop jeune pour le savoir, le simple fait de tracer des lignes fut décrit par Bresenham, sur ces machines mais l'ignorant je me suis aussi amusé à reproduire ce fonctionnement et ce n'est qu'après avoir recherché dans une bibliothèque que je l'ai su et comment aurais-je pu faire autrement? C'est pouquoi je serais aussi, tout comme vous curieux de vous en faire part.

Mais la vraie période, Créative fût pour moi les années quatre-vingt ou une multitude de ces machines toutes aussi différentes les unes que les autres, car de conception diverses que tout à été imaginé les années 90 pour systématiser ce fonctionnement sur quelques machines que vous connaissez les PC les Mac les autres ayant disparu et les années 2000 pour miniaturiser encore plus ces ordinateurs pour intégrer ces fonctions dans vos téléphones portatifs.

Si d'aventure vous pensez pouvoir prouver ce que vous faite et qu'il se trouve que vous ne soyez pas compris, c'est le lot qui apparait qui serait notre faculté que vous devez comprendre et que nous devons expliquer, et ceci n'est pas un aléa, ni une routine pour avoir écrit tant de formulation je me permet de vous en faire part. Mon intension est louable soyer en certain, pour que ceci ne soit pas qu'une aventure il faut aussi vous la compter. Mais alors comment faire pour être compréhensible et que chacun trouve une juste mesure de cela. Et qui serait tout de même, il faut le reconnaitre très très long. N'est ce pas.


 Notes:

BeeLog écrit par denis Bertin Stéphane